Développé par Apostroph3d Studio,
Dark Biome Orbital Cleanup est un jeu
d’aventure exploration évoluant dans un
monde ouvert, un rpg steam-cyberpunk
electro-diesel
Le jeu/histoire/monde/personnages
Éboueur orbital le plus haut boulot du monde.
L’indigestion neuronal d’Iga
An 2971,
Icar Derval un des derniers technoéboueur orbital œuvrant dans la galaxie est confiné depuis des lustres dans une vieille station
d’épuration orbitale, Odvagel. Automatisée par Iga Sigma, l’intelligence gélifiée artificiel dédiée à la maintenance de la station
collectrice, et secondée par une pléthore d’ouvriers et servants métaloplastoque à son service, elle peine depuis quelques décennies
à régénéré son métabolisme. Ses nutriments, les Gluticores cultivés dans son bassin îlot psyphon-neurogénique se sont altérées par
une mutation de l’aquabiote l’embourbant au fil du temps en un état spongieux léthargique. Impactant ses unités logiques par une
légère aphasie et d’une imperceptible démence, joyeuse débile déserteuse Iga dit la Gélatine stagne depuis dans l’incurie oublieuse
de sa mission. Le bien être et la sécurité de la station. Odvagel subissant les avaries, peu à peu des pannes s’accumule dans le vieux
rafiot foutant la zizanie causant crashs pénuries et inversion système, incarcérant Icar seul résident des lieux dans un survivalisme
«Anti-Iga» déjouant au quotidien l’absurdité de sa milice bio-synthéques les Cognasses Sigma.
Pourtant inlassablement, Derval Icar ne cesse d’entreprendre ses cycles de vies à nettoyé la sainte crasse orbital avec grâce, joie
et engouement sans jamais faillir une seul EVA du grand nettoyage cosmique.
Concepteur ingénieure assisté d’IA puissante il développe et utilise tout un arsenal d’outils performants pour l’interception des
débris stellaires et l’assainissement bio-orbital.
Poulpeuse et lascars aliens.
Lors d’une mission de sortie, après avoir intercepté un “Kidkit” de survie alien parmi les débris spatiaux autour de la terre,
la vie à bord subi une étrange métamorphose. Le Kidkit ouvert, de jeunes bipèdes et leur nounou tentaculaire hystérique
d’un autre monde, la Poulpeuse et ses Cryogènes, procèdent à un reconditionnement de la station.
Mémoire entre deux miroirs
Reprogrammant zones de quarantaines et ingénierie système du vaisseau, dont le “Brainglue Protocol” le confinement mémoriel
chimique des stationnautes, la bande de lascars aliens reconnecte le portail d’injecteur psy. Ainsi Icar Derval le résident perpétuel
d’Odvagel la vieille, soulagé de sa congestion cérébral ravivant enfin sa mémoire, redécouvre les joies intenses et insensées
la technologie permettant de se téléporter par un étrange pont neuronal entre la station et la terre relié par un ascenseur spatial.
Alors libéré d’une stase chimique de quelques centaines d’années à travaillé au sein de l’antique station, sur terre il explore un
environnement dénaturé ou les bionanomerdloques ont transmutées une partie du monde à un âge mutagène sombre et
Métalogluant, le Dark Biome. La faune et la flore transformé s’épanouissent dans un état de la matière où les régions naissantes
et leurs dimensions alternatives n’incarnent plus l’essence de l’arbre de la vie, mais un fléau cauchemardesque de brume de poix
oppressant et persistant.
Pourtant, au delà des régions altérées des Terres de Glus Noirs vie une population loin du fléau. Des déserts de poussière d’eaux
aux caldeiras, en passant par les immenses décharges technologiques ancrées dans les profondeurs des terres, et bien en dessous
plus loin encore les Phar’Lumens rayonnant leurs cités intérieures et les villages thermal d’Oursins Pompons des mers de ciel, les
hameaux cités sont le havre de civilisations émergentes ou la parité hommes, androïdes et autres espèces forme la renaissance de
tout un peuple cosmopolite, lointain descendants des rescapés du génocide des Filandreux.
Mais cette démographie symbiotique pourrait être anéantie une seconde fois par l’étrange écosystème issu des entrailles de la
Terre au-delà du tréfonds des régions du Gouffre Noir aux brumes puantes. Par de monstrueuses entités, de fous machiavéliques
présent depuis plus que le début du monde, bien au-delà du temps lui mème.
Planqué derrière le mur … au fil du temps
Bien avant l’émergence du Big-bang issues d’un univers infiniment plus ancien, évoluât une espèce aux capacités singulières, les
Célestintés et les Célestitines. Ces hominidés intergalactiques avaient acquis un sixième sens, la perception décéléré du temps,
anticipant l’instant-T conférant des réflexes et des capacités cognitives décuplés. Connectés ensembles, ils syntonisaient l’espace
temps dans une trajectoire élargie ouvrant des horizons temporels éloignés, ne prédisant pas vraiment l’avenir mais disposant d’un
écho plus précis un décryptage éclairci octroyant les prémisses d’une précognition.
Dingologigantesque
Activant la bombe “Zéro Temps” Orzog noir d’âme un Célestinté d’ombre, rétracteur d’univers, tueur de cosmos, masticateur de
chewing-gum à l’eau de rose, avait anéantis l’univers entier. Une folie dévastatrice effaçant tout en une seul fois harponnant le
monde au sein d’une galaxie noire la plus dense ayant jamais été conçue, une structure artificiel inversant l’expansion de l’univers
en un seul point jusqu’à son dernier atome. Puis de l’annihilation surgissant du néant le Big Bang, une nouvelle dimension ou
l’inflation pour un monde grandissant libéra à nouveau la grande course aux photons, la lumière.
Univers de synthèse technologie d’avant garde des Arches-Univers. Les courseurs de fond.
A l’implosion du Big-Crunch orchestré par Orzog, les Célestintés synthétisèrent des alliages intemporels pour façonnés les artefacts
cosmiques. Des bulles espace temps enclavées dans de l’ambre cristallin d’Ornakrom forgé dans les titanesques fonderies d’Argloth
la naine pure du sillage intersidérale de Siraph. Diffusant leurs flux dans les structures des coques Cethermos conférant leurs propre
continuum espace temps aux vaisseaux Arches-Univers, une fraction de leurs temporalité dans lesquelles ils se réfugièrent et
naviguèrent pour un long voyage de plusieurs milliard d’années. Assoupis en stase Cryo-temporel dans des rêves artificiels à l’abri
de l’émergence brutal d’un nouveau cosmos en expansion, happé au cycle des millénaires par la force gravitationnel des galaxies
naissantes, enfouies à l’intérieur des planètes en formation ils se réveillèrent la plupart d’entre eux dans la nuit perpétuel
de mondes souterrains.